Le Grenelle Environnement, également connu sous le nom de « Grenelle de l’environnement » désigne un ensemble de rencontres politiques ayant eu lieu en France en octobre 2007, et visant à prendre des décisions sur le long terme en faveur de l’écologie, de l’environnement et de la sauvegarde de la biodiversité.
Face à la crise climatique et écologique de grande ampleur que traverse la France à cette époque, le Grenelle Environnement devait constituer un point de départ à la mobilisation de la société française pour inscrire son développement dans une perspective durable.
Promulguées entre 2009 et 2010, les lois Grenelle 1 et Grenelle 2 font suite aux rencontres de 2007 et posent les engagements centraux du gouvernement.
La loi Grenelle 1 fixe les grandes orientations et expose les choix effectués pendant les rencontres, sans pour autant définir de modalités concrètes d’application ou de financement.
Le gouvernement s’engage au travers de 268 engagements ; l’objectif principal étant de diviser par quatre les émissions de gaz à effet de serre d’ici
2050. D’autres dispositions portent sur l’agriculture, l’énergie ou encore sur les produits incluant des nanomatériaux.
La loi Grenelle 2 précise de manière concrète les dispositifs énoncés dans la loi Grenelle 1, en mettant l’accent sur six chantiers majeurs : le bâtiment et l’habitat, les transports, l’énergie, la santé, l’agriculture et la biodiversité.
Le secteur du bâtiment et de l’habitat est particulièrement concerné par les mesures du Grenelle. La France, en comparaison avec ses voisins européens, accumule en effet un réel retard en matière de performance énergétique des logements. Une part trop importante de constructions énergivores, également nommées « passoires énergétiques », existe encore.
Un vaste plan d’amélioration de l’habitat est alors annoncé, s’adressant à tous les secteurs : des bâtiments publics aux logements sociaux, en passant par les logements privés et le secteur tertiaire privé. Les mesures proposées concernent aussi bien la construction de bâtiments neufs que la rénovation thermique dans l’ancien. Les objectifs sont clairs :
Plusieurs idées émergent alors pour atteindre l’efficacité énergétique souhaitée, telles que l’instauration de nouvelles formations à destination des professionnels portant sur les techniques de rénovation énergétique ou la mise en place d’aides financières en faveur des travaux d’isolation thermique.
Parce que le toit représente la plus grande source de déperditions thermiques d’un bâtiment (30% au total), l’isolation de toiture est essentielle pour limiter la consommation d’énergie du bâtiment. L’isolation des combles contribue par ailleurs à un habitat plus sain, avec moins de problèmes d’humidité et de sécheresse.
Pour isoler sa toiture, deux procédés existent :
En tant que véritable spécialiste de l’isolation de toiture par l’extérieur (ITE toiture), Quickciel propose une vaste gamme de solutions hautes performances et durables. Notre gamme comprend à la fois des panneaux sandwich de toiture ainsi que des isolants sarking, conçus à partir de matériaux tels que le polyuréthane (PU) ou le polystyrène (PSE). Pour une isolation des toitures garantie sans ponts thermiques, faites confiance aux panneaux sandwich isolants de toiture et panneaux sarking Quickciel.
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